Les fêtes


a) La naissance

Le nouveau né était lavé par une servante, puis placé aux pieds du père. Si celui-ci, le prenait dans ses bras, cela voulait dire qu'il l'acceptait. L'enfant pouvait être refusé s'il était malformé, dans ce cas, il était abandonné à l'extérieure de la maison. Neuf jours après sa naissance, un bébé accepté recevait son nom et une amulette, "la bulla"


b) Le mariage

Tout comme aujourd'hui, le mariage était précédé des fiançailles. En guise d'alliance, le futur mari offrait à sa future épouse un anneau de fer ou d'or. Le jour des noces était difficile à choisir car les Romains étaient extrêmement superstitieux. (Le mois de Mai et la première partie de Juin n'étaient pas conseillés.)


Le jour du mariage, la mariée était revêtue d'un tunique blanche avec un manteau couleur safran. Un voile couleur de flamme cachait le haut de son visage et une couronne tressé de marjolaine* et de verveine* coffait sa tête.

A l'aube, avant le mariage, on célébrait un sacrifice, afin que les dieux accordent leur faveur à la nouvelle famille puis on rédigeait le contrat nuptial*. Enfin, les époux échangeaient leur consentement mutuel en se donnant la main et en se disant: " Spondesne ? " (Promets-tu ?) et en répondant: " Spondeo " (Je promets)


Ensuite, la cérémonie était suivie d'un banquet qui durait jusqu'au coucher du soleil, après quoi, on accompagnait la mariée à sa nouvelle demeure. La porte était ornée de feuillages et de bandes d'étoffe de laine blanche. Le moment était venu pour qu'elle entra dans sa nouvelle demeure. Pour éviter qu'elle ne fît un faux pas en franchissant le seuil (incident de très mauvaise augure), le marié la soulevait dans ses bras et la portait jusque dans l'atrium* où il lui présentait

L'enfant était lavé,  puis placé aux pieds du père.

On accompagnait la marié à sa nouvelle

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